PROPRETE


Nous remercions le personnel de la mairie chargé de ramasser les poubelles et qui s'occupent de l'entretien de la voirie dans notre quartier pour leur professionnalisme et implication

 


ENVIRONNEMENT


Des arbres pour limiter la pollution de l’air

 

Pour rappel, Aix-en-Provence a été choisie au même titre que Florence en Italie, comme ville pionnière pour mettre en place le projet Airfresh, labellisé par la Commission Européenne en 2020. Le principe : planter 400 arbres (essences appropriées pour améliorer la qualité de l’air) sur une surface d’un hectare, afin de quantifier l’ensemble des bénéfices environnementaux et socio-économiques produits par ces arbres jusqu’en 2025.

 

L’analyse des tests réalisés avant la plantation et après sont programmées en 2023 et 2024.

 

Jusqu’en 2025, l’objectif est d’avoir des ressources scientifiques concrètes sur le rôle de ces mini-forêts urbaines, notamment sur le bien-être des citoyens, et de servir de boussole à la municipalité pour les futures plantations.

 

D’autre part, à l’aide d’images satellite, le projet Airfresh va aussi permettre de déterminer précisément le nombre d’arbres et les espèces de la ville. Plus de 150 000 arbres ont déjà été recensés, sur un périmètre de 30 km2 couvrant le centre, le nord et l’est de la ville [le territoire aixois s’étend sur près de 187 km2, ndlr]. À partir du nombre exact d’arbres, publics et privés, la Ville disposera d’une quantification réaliste de la capacité des arbres présents à Aix à éliminer la pollution de l’air.

 

Dans la même optique, le parc Saint-Mitre fait aussi figure de laboratoire de nouvelles pratiques en matière de plantations… La Ville y teste la plantation de deux mini forêts urbaines, toujours pour améliorer l’air ambiant. Le concept a été développé par Akira Miyawaki, un botaniste japonais. (....)

 Source : htps://madeinmarseille.net/123668-ambitions-sophie-joissains-aix-en-provence-ville-plus-verte/

 

Pour soutenir une écologie des territoires urbains et améliorer les conditions de vie en ville, la municipalité a déployé une politique durable avec la construction de parcs relais, le développement des transports en commun, notamment la ligne de l’Aixpress, bus 100% électrique, la piétonnisation du centre historique ou encore l’aménagement de voies cyclables qui s’est traduit, après la pandémie, par le développement d’un grand plan vélo.

Source : https://madeinmarseille.net/141827-aix-en-provence-parmi-les-villes-les-plus-arborees-de-france/


Pourquoi la cascade de La Priée restera sans restauration

Réparation aux basses eaux en octobre 2014 (retardée suite tests de recherche de nouvelles ressources en eau pouvant entrainer des résurgences)

 

L'administrateur du SABA a demandé le 23 octobre 2012, suite à une décision de madame le Maire, lors du comité syndical qu'elle soit bouchée.

 

L'intérêt patrimonial de cette cascade a été reconnu : cette retenue fût la première piscine d'Aix dotée d'un maitre-nageur (Mr Susini). La Mairie fera une déclaration d'utilité publique afin de pouvoir faire effectuer les travaux par le SABA.

La cascade avant :

Cette cascade résultait d'une retenue d'eau (muret et margelle de déversement).

Et, elle ralentissait l'Arc, permettant d'en élargir le cours juste avant la chute, donnant à cet endroit nommé "La Priée" une allure romantique.

 

Très prisée l'été pour sa fraîcheur, cette cascade était entourée de beaux arbres et l'on imagine aisément Cézanne y peignant ses baigneuses et baigneurs (ce fût la première piscine d'Aix dotée d'un maitre-nageur).

 

Le muret  de la cascade a lâché progressivement (voir photo ci-après), permettant à l'Arc de s'y engouffrer et de l'affaiblir jusqu'à sa rupture complète

 

Les premiers dégats

Les bords de l'Arc sont la propriété de la mairie depuis 1976 d'un seul coté seulement, la berge côté Meyreuil est privée. 

Les dégâts se sont accrus et la réfection n'aura pas lieu du fait d'une réglementation européenne exigeant la suppression des seuils de cette nature afin de permettre la libre circulation des poissons.

 

 

 

Pour information il faut savoir qu'un passe à poisson permettrait de répondre à une telle demande... et la réhabilitation de notre cascade historique.

 

09/2015 : Historique -

la Mairie a demandé à la Préfecture une dérogation  à la directive européenne interdisant sa reconstruction en installant une passe à poisson.

Malgré un budget prévu à cet effet, la cascade restera en l'état

du fait de cette réglementation.

 

Aujourd'hui, la cascade n'existe plus à part quelques rochers éparpillés pour nous rappeler qu'elle fût !